Scénario et dessins : Ohkubo Atsushi
Studio : BONES
Avec les voix françaises de : Celine Rotard, François Creton, Jessie Lambotte…
Nationalité : Japonaise
Genre : Action, aventure, comédie
Nombres d’épisodes : 51
Date de sortie : 2008
Synopsis : « Une âme pour demeurer saine n’a qu’un seul besoin, c’est de vivre dans un esprit sain, lui même vivant dans un corps sain. » Voila le précepte sur lequel repose le monde de Soul Eater. Ceux qui le suivent pourront vivre tranquillement et rester dans le droit chemin alors que ceux qui ne le suivent pas se transformeront peu à peu en monstres se nourrissant uniquement d’âmes saines. Les seuls qui puissent arrêter ces âmes perdues sont les Meisters, des combattants maîtrisant des armes humaines…
Nous suivons l’histoire de trois Meisters et de leurs compagnons : Maka, une jeune élève modèle, accompagnée de sa faux, Soul, un garçon qui s’est fixé pour objectif d’être le gars le plus cool du monde ! Blackstar, le ninja égocentrique armé de la timide et douée Tsubaki et enfin Death the Kid, qui a pour passion la symétrie et pour armes les deux sœurs Thompson qui peuvent prendre la forme de revolvers. Ensemble, ils combattront les âmes impures pour protéger celles qui sont saines.
Avis personnel : Soul Eater est un animé vraiment plaisant à regarder. Tant pour son histoire que pour ses graphismes qui, pour moi, en plus d’être très originaux, sont très beaux et de bonne qualité. Cette originalité, on l’a retrouve d’ailleurs dans le scénario avec ce concept d’armes humaines, qui est plutôt bien trouvé. L’animé est basé sur deux thèmes principaux : d’abord l’humour et la comédie qui occupent une place très importante avec beaucoup de scènes hilarantes, même dans des situations sérieuses, dans le but de détendre l’atmosphère. Puis les combats, qui sont accompagnés d’une bande-son et d’une animation superbe.
En ce qui concerne les personnages, un petit bémol pour l’héroïne, Maka, qui tombe un peu trop dans les clichés de l’enfant modèle, pas toujours sûre d’elle… Pour les autres, rien à redire : de Blackstar qui se prend pour un dieu à Death the Kid qui tombe en dépression quand quelque chose n’est pas symétrique, ils nous font rire et sont tous très différents ce qui fait que chacun peut trouver son ou sa préféré(e).
Pour les épisodes, il n’y en ni trop ni pas assez, tout juste le bon dosage. Et pas le temps de s’ennuyer pendant la durée d’un épisode, vous serez soit en train de rire soit concentré sur une scène de combat intense. Pendant ces 51 épisodes, nous suivons nos héros dans différentes petites histoires tout en gardant un adversaire principal pour l’affrontement final qui conclue l’animé.
Pour résumer, je dirais que ce qui fait la force de Soul Eater, c’est ce monde dans lequel il nous transporte, ses personnages attachants dont on a envie de suivre l’histoire et cette atmosphère calme et accueillante qui règne du début à la fin. En bref, un animé assez peu connu que je conseille fortement.
Samuel Quentin